Contre qui devrons-nous nous battre pendant ces cinq ans ?

Si vous voulez forcer les gens à se faire injecter contre leur gré, contre la science et contre toute l'histoire des luttes pour notre dignité, notre santé, nos droits et le Code de Nuremberg, si vous voulez encore masquer et maltraiter les enfants et leur inoculer un produit contre un risque qu’ils n’encourent pas et si vous voulez poursuivre la destruction de la France, de notre démocratie, de nos institutions et valider une violence jamais vue auparavant contre les opposants dans la rue, vous savez déjà pour qui voter : il agite son drapeau européen et efface le nôtre, il lève son nez reniflard sur ceux qui « ne sont rien » et méprise notre pays qui, pour lui, « n’a pas de culture » et nous « emmerde ».

OUI ou NON à la vaccination des enfants

En revanche, si vous espérez que la démocratie reste vivante, voire même qu’elle s’allume à nouveau par une forte mobilisation aux législatives contre une présidente dont vous n’appréciez ni le nom, ni la filiation, ni même les idées, vous avez le choix que font les classes populaires de la France depuis deux décennies, malgré le mépris médiatique répété et la diabolisation outrancière qu’elles subissent.

La démocratie est probablement agonisante, comme le montre l’analyse du premier tour de cette présidentielle : un vote de peureux collés à leur télévision pour un sortant qui s'est caché pendant toute la campagne, a refusé le débat, a refusé la confrontation des idées et la discussion sur son bilan.

Mais quand on se tient vivant et debout, on doit aussi être prêt à se battre pour le demeurer. À nous donc de choisir celui ou celle contre qui nous allons ensuite devoir nous battre pour les cinq ans à venir. Avec les armes habituelles de la démocratie et de nos institutions vivantes ou contre celles de la vaccination obligatoire, des contre-pouvoirs diminués ou mis au pas comme l'Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’état, le CSA et la Commission des sondages, de l’enfermement, du flicage généralisé et privatisé, dont nous avons connu une sordide répétition.

Nous ne sommes pas condamnés à subir cinq ans de plus de passe sanitaire, des doses supplémentaires de soit-disant vaccins (déjà commandées), des autorisations écrites pour promener le chien, boire le café assis, une austérité budgétaire sans précédent, des soignants suspendus et méprisés, une Union européenne toujours plus envahissante et belliciste, le démantèlement de la France, Macron, Castez, Véran, Attal, Schiappa, Castaner, voire de nous retrouver en guerre contre la Russie.

Nous ne sommes pas condamnés à celle pulsion de mort qui nous envahit depuis deux ans. Bon courage.

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