Reflets à 45° nord

Ces députés l’ont fait sciemment, en accord avec la doctrine Macron de déchéance de la citoyenneté appliquée aux non-vaccinés, exprimée le jour même. Une déchéance qui n'existe plus quand il s’agit de combattre des terroristes ou autres vrais criminels.

Il est désormais clair pour tous, et ouvertement et officiellement déclaré par le pouvoir, que la vaccination n’a rien à voir avec la question de la santé. Les propos indignes du président fossoyeur de la France, de son ministre de la santé et de son premier ministre l’attestent. Ils appliquent en force un  mandat de faire injecter ad nauseam ce produit expérimental dangereux à l’entièreté de la population, quelles qu’en soient les conséquences. Ce mandat ne vient pas du peuple français ; il le leur reprendra sans tarder.

Macron joue donc la carte du bouc émissaire, tentant d’aller chercher chez les vaccinés un appui en leur livrant un coupable inventé de toutes pièces : le non-vacciné. Il désigne ainsi à la vindicte quelqu’un qui n’a enfreint aucune loi, qui ne menace personne et qui accepte patiemment que sa vie sociale se réduise déjà sans cesse : interdiction de voyage, de restaurant, de sport, de visite, de droits fondamentaux, d’opérations médicales...

Comment vont réagir les vaccinés ? Vont-ils s’abaisser avec lui à exprimer la haine née de leur impuissance et de leur honte d’avoir accepté les première injonctions débilitantes comme boire un café assis ou de porter un masque seul dans la rue ? Ou vont-ils se réveiller et comprendre qu’ils seront les prochains sur la liste pour peu qu’ils n’aient pas encore reçu la dose de plus de piqure inefficace, sans cesse répétée, car un vacciné sera toujours un non-vacciné en devenir au gré des pseudo-rappels.

Vont-ils aussi sacrifier leurs enfants ? Et ces enfants vont-ils accepter de risquer leur propre vie pour ce mirage autoritaire et le monde – leur monde – qui se dessine derrière ?

Ça dépend de nous tous, jeunes et vieux, unis dans le respect, la défense et la transmission de nos principes, droits et valeurs, et pas seulement des non-vaccinés qui résistent encore, isolés et insultés.

J'en profite pour confirmer ce que je pense et affirme depuis près d'un an : Macron ne se représentera pas et ne finira pas son mandat électoral. C’est la deuxième phase, à venir de ces heures historiques françaises, qui donne de l’espoir à la traversée de ces jours.

Courage à tous, notamment aux nouveaux boucs émissaires que j’embrasse chaleureusement, et sans geste barrière ! Ne nous abandonnons pas à la laideur de l’époque. Notre pays en a connu de pires, même si on en avait un peu perdu l’habitude.

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Vincent, fier paria, toujours citoyen français