Quel plaisir de l’observer à la tombée de la nuit, assis en bonne compagnie, autour d’une verveine du jardin, après une bonne soupe d’orties et une salade bio, à parler de Schubert, à en découvrir le lied du pâtre sur le rocher, à réécouter Atom Heart Mother sur la platine d’époque, à guetter les bruits du lérot venu chasser à la fraîche...
Dans ce jardin extraordinaire, tout en longueur, savante juxtaposition d’arbres, de buissons et de petites plantes venues se réfugier d’ailleurs et attirant les oiseaux, je le confirme : la pie niche haut. Quand à l’oie et au hibou, il me faudra revenir pour le vérifier…