
De passage à Metz, j’ai été invité à visiter la maison étrange d’un ami, qui héberge outre quelques clavecins, des estampes japonaises du début du 20e siècle, quelques violes de gambe — qu’il fabrique et dont il joue —, un piano Pleyel de 1849 ! Dans une petite salle de concert aux murs décorés de tableaux nébuleux et remplie de chaises hétéroclites, juché sur une petite estrade, en bois clair vernis, il trône seul.